Nous dénonçons les souffrances inhumaines endurées par les femmes dans de nombreux pays.
Si en France, nous avons obtenu des droits et des avancées significatives, bien qu’encore très insuffisantes, nous ne devons pas oublier que des millions de femmes dans le monde sont privées de leurs droits fondamentaux et vivent des situations d’oppression, d’exploitation économique, de guerre, de violences, d’inégalités, de discriminations et précarité intolérables.
Tout récemment par exemple, le séisme qui a secoué l’Afghanistan s’est doublé d’un crime sexiste de masse. En effet, une enquête du New York Times a révélé que les femmes et les filles n’ont pas été secourues, confirmant l’apartheid de genre !
Comment se taire ?
Pourtant, une chape de plomb continue à s’abattre sur leur calvaire.
Et à Gaza, comme l’ont indiqué plusieurs ONG, ce sont les femmes et les enfants qui constituent la majorité des victimes du génocide en cours.
Chacune et chacun, et en premier lieu nous, féministes et internationalistes, avons le devoir de dénoncer ces drames, ces injustices, ces crimes contre les femmes parce que femmes !
Ensemble, nous partageons ce besoin de leur témoigner notre solidarité.
Il nous faut amplifier de façon conséquente la communication autour de cette manifestation du 11 octobre pour en assurer la plus grande réussite.
Avec nos amitiés féministes, Le groupe de travail de la manifestation